lunedì 19 aprile 2010

Bataille du mont Cassin (V A IPSSAR CASSINO)


La bataille du Mont Cassin
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, sur le Mont Cassin, a lieu une série de batailles livrées par les Alliés pour transpercer la ligne Gustav, occuper Rome et rejoindre les forces débarquées à Anzio, tandis que les Allemands essaient de freiner au maximum l’avance alliée.
L’Abbaye du Mont Cassin fut détruite par des centaines de bombardiers.Après l'opération Husky (débarquement et prise de la Sicile par les Alliés) en septembre 1943, puis le débarquement en Calabre et la prise de Naples, le front d'Italie s'est enlisé. Certes, l’armée allemande est réduite face aux Alliés, mais le front lui même se réduit à la largeur de la botte italienne, qui est bien plus facile à défendre que les immensités de l'espace russe.
L'Italie a théoriquement rejoint le camp allié, mais la plupart des troupes italiennes ont été désarmées ou froidement exécutées par les Allemands, comme la division Acqui sur l'île grecque de Céphalonie. Les Allemands ont installé une république fantoche et fasciste dans le nord de la botte, la république de Salò, dirigée par Mussolini.
En réalité, le débarquement en Sicile n'est que le préambule à la campagne d'Italie, qui elle-même n'est que le prélude à l'opération Overlord (nom anglo-saxon du débarquement en Normandie), en attendant que le renforcement en matériel et troupes destinés à cette dernière fût prêt en Grande-Bretagne. Dans ces conditions, les opérations alliées en Italie n'ont pas la priorité. De plus, les Allemands n’ont aucune intention d’abandonner Rome facilement.
Entre janvier et mars 1944, le général Eisenhower, commandant suprême des forces alliées, le général Clark de la Vème armée américaine, et le général Leese de la VIIIème armée britannique, sont opposés au feld-maréchal Albert Kesselring, commandant en chef, et au général Heinrich von Vietinghoff, commandant de la Xème armée allemande.
Il faut quatre opérations aux Alliés pour qu'ils parviennent à s'emparer du Mont Cassin et de son monastère, seule voie pour prendre Rome. La hauteur sur laquelle se trouve le monastère (435 mètres) est la clef du dispositif défensif allemand. Elle surplombe la ville de Cassino, ainsi que la route nationale, et domine les vallées du Rapido et du Liri. Durant trois mois, le général Von Senger und Etterlin renforce ses défenses. Le 14e Panzerkorps et des bataillons d'élite de parachutistes et d'infanterie sont chargés de sa défense.
Au début du mois de janvier, les Alliés lancent une succession de raids de 3 000 bombardiers, contre les voies de communication allemandes. Le 15 janvier 1944, le 2e corps américain du général Keyes prend le mont Trocchio avec le soutien du Corps Expéditionnaire français (CEF). Cette unité française, composée essentiellement de troupes de l'armée d'Afrique et commandée par le général Alphonse Juin, est en effet engagée sur le front d'Italie aux côtés des Américains depuis le mois de décembre 1943.Le 17 janvier 1944 commence la première bataille de Cassino. Lors de la première phase des opérations, le 10e corps britannique du général McCreery parvient à franchir le fleuve Garigliano, près de son embouchure. Il arrive le 19 janvier près de Castelforte.
À partir du 20 janvier, les Allemands lancent des contre-attaques qui sont repoussées au bout de douze jours. Dans une seconde phase, le 2e corps américain du général Keyes lance la 36e division contre Sant'Angelo, appuyée par la 34e division qui attaque Cassino. La tentative de franchissement du fleuve Rapido par la 36e division échoue toutefois le 20 janvier 1944. La 34e division réussit presque à prendre Cassino et le monastère : ils arrivent à 300 mètres seulement de l'objectif. Lorsque la 4e division indienne vient relever les Américains, la division ne compte plus que 840 hommes sur les 3 200 au début de l'attaque.Au début du mois de février, les Allemands ont reconquis la majeure partie du terrain perdu.
Le 6 février 1944, la 36e division américaine est relevée par la 2e division néo-zélandaise. Les troupes débarquées à Anzio sont, quant à elles, immobilisées par les forces allemandes.De son côté, si le Corps Expéditionnaire français (CEF) n'a pu s'emparer du mont San Croce et du Carella, faute de réserves, il a enregistré de nombreux succès sur un terrain escarpé particulièrement difficile: la prise de La Selva, de la Costa San Pietro (1450 mètres d'altitude), d'Acquafondata et de la Monna Casale (dont les deux sommets jumeaux culminent à 1220 et 1225 mètres) ont constitué souvent autant d'exploits sportifs que militaires.
En deux mois, la 2e DIM puis la 3e division d'infanterie algérienne (3e DIA), appuyées par deux groupements de tabors marocains (GTM), ont obtenu des résultats significatifs : une avance de plus de 15 kilomètres à certains endroits en pays montagneux, la capture de 1200 prisonniers, la mise hors de combat d'une division allemande en entier.
Au cours de l'offensive de janvier 1944, les tirailleurs nord-africains ont été les seuls à menacer sérieusement la ligne Gustav, réussissant même à la rompre au Belvédère lors de l'incroyable assaut du 4e Régiment de tirailleurs tunisiens (4e RTT). Plus tard, dans ses mémoires, le général de Gaulle écrira que lors de cette bataille, « le 4e régiment de tirailleurs tunisiens accomplit un des faits d'armes les plus brillants de la guerre au prix de pertes énormes ».
Mais ces opérations sur le flanc nord-est de Cassino ne constituent pas la priorité de l'État-Major anglo-américain, qui persiste à vouloir enfoncer le verrou du mont Cassin par une attaque frontale. Du 15 au 18 février 1944 se déroule ainsi la seconde bataille du mont Cassin. La 4e division indienne et la 2e division néo-zélandaise se préparent à prendre d'assaut le mont Cassin, en passant par la crête de la Tête de Serpent, et à également s'emparer de la gare du chemin de fer. Le 15 février 1944, le commandement allié ordonne le bombardement du monastère du mont Cassin. 224 appareils larguent 420 tonnes de bombes qui rasent le monastère : les Alliés pensaient que des observateurs allemands se trouvaient sur les toits, ce qui était faux.
La destruction du monastère permet toutefois aux Allemands d'en faire une véritable forteresse. L'attaque terrestre est donnée le 16 février. Les Néo-Zélandais prennent la gare du mont Cassin, mais doivent peu après s'en retirer. Le 17 février, la 78e division britannique se joint au corps néo-zélandais, mais le lendemain, l'opération est suspendue. Le mauvais temps neutralise les mouvements durant 3 semaines.
Du 14 au 22 mars, la bataille reprend. Freyberg attaque en direction du sud, le long des deux rives du fleuve Rapido, après des bombardements intensifs. Les Alliés veulent s'emparer de la ville du mont Cassin, mais après 6 jours de combat, le corps néo-zélandais est obligé de se retirer. La situation s'enlise.
Au printemps 1944, les Alliés opèrent un repositionnement de leurs unités en vue de leur nouvelle offensive. L'offensive alliée qui se prépare s'appuie sur les plans audacieux du général Juin, qui a réussi à imposer ses vues à l'état-major anglo-américain.
Juin veut éviter toute nouvelle attaque frontale contre Cassino, dont les défenses ont été encore renforcées et d'où les troupes allemandes d'élite paraissent impossibles à déloger. C'est au contraire par la montagne, là où l'ennemi ne s'y attend pas, qu'il faut porter l'effort principal: à travers les monts Aurunci (au sud-ouest de Cassino, considérés comme « impénétrables aux armées », selon les Allemands. Ce plan doit permettre de couper les positions arrières de l'ennemi, enveloppant ainsi toute la ligne Gustav.
Pour Juin, seul le CEF est capable de mener à bien cette opération, grâce à l'aptitude au combat en montagne. Parallèlement, le plan prévoit une attaque du 2e corps polonais contre le monastère par le nord, tandis que le 13e corps britannique doit franchir le fleuve Rapido pour couper la route nationale et isoler la ville. Le 2e corps américain étant, quant à lui, chargé d'attaquer les lignes allemandes au sud des positions françaises. L'opération de rupture de la ligne Gustav est initialement confiée à la 2e division d'infanterie marocaine (2e DIM), qui doit s'emparer pour cette mission des monts Faito et Majo (ou Maio).
L'offensive générale des Alliés se déclenche le soir du 11 mai 1944, à 23 heures, sur l'ensemble du front italien. Une intense préparation d'artillerie de 2 000 canons précède l'attaque. Mais dans le secteur de la 2e DIM ce bombardement ne que réussit pas à détruire le dispositif de défense allemand (blockhaus, barbelés, mines…), qui sillonne les pentes que doivent gravir les tirailleurs marocains avant de pouvoir s'emparer des sommets.
Cet assaut va s'avérer redoutable. Les régiments de la 2e DIM se lancent ainsi dans une attaque de nuit aux combats souvent confus et très meurtriers, mais la ligne Gustav tient toujours. Juin décide la reprise de l'offensive pour la nuit suivante, après une préparation d'artillerie plus importante et mieux ciblée. Très tôt dans la matinée du 13 mai, c'est la ruée des tirailleurs marocains sur les positions allemandes, ravagées par le feu des canons français, qui finissent par céder. La prise du mont Majo par les troupes marocaines de la 2e DIM est saluée par un drapeau français de 30 m² hissé à son sommet (940 mètres) et visible à des kilomètres à la ronde, par les troupes du CEF comme par les Allemands. L'exploitation est maintenant possible vers les monts Aurunci puis, plus à l'ouest, les monts Lepini. C'est la 4e DMM et les trois Groupes de Tabors Marocains, formant le corps de montagne du CEF, qui s'en chargent dès le 14 mai, à « un train d'enfer ». « Les Français avancent si rapidement, que les communiqués ne peuvent suivre leur rythme », rapporte un journaliste américain.
Suite à cet assaut des goumiers marocains dans les monts Aurunci, les Britanniques prirent l'habitude de qualifier toute attaque audacieuse de « goumisation ». Les combattants marocains prennent par la suite le mont Fammera (1175 mètres) et le mont Revole (1307 mètres).
Parallèlement, le 4e régiment de spahis marocains (4e RSM) incorporé temporairement à la 3e DIA œuvre à la prise de Castelforte, qui ouvre la route d'Ausonia dans la vallée de l'Ausente; ce qui permet de déboucher sur la vallée du Liri, au sud-ouest de Cassino, derrière les lignes allemandes. De son côté, le 3e régiment de spahis marocains (3e RSM), mis provisoirement à la disposition de la 1re division de la France libre (1re DFL), participe au mouvement général de cette division qui s'engage dans la haute vallée du Liri via San Apollinare, en débordant également Cassino par le sud.
Tandis qu'une attaque aérienne détruit le quartier général de la Xeme armée allemande, l'avancée du CEF, tant en montagne que dans les vallées, rompt donc le dispositif défensif allemand de la ligne Gustav et facilite la progression des Britanniques et des Américains. Ces derniers atteignent ainsi rapidement Spigno. Le 17 mai 1944, Kesselring ordonne à ses troupes de laisser Cassin de côté, de crainte de se voir enveloppé par la manœuvre française. Le même jour, la route nationale est coupée par le 13e corps, et les Polonais lancent l'assaut sur le monastère, qui tombe le 18. Les Alliés ont perdu environ 115 000 hommes (tués et blessés), et les Allemands 60 000. Le 20 mai, les Allemands - qui battent en retraite - voient leur situation s'aggraver : le 23 la percée des troupes alliées les encercle dans Anzio.
Le 26 mai, spahis et tirailleurs marocains s'emparent de la ville de Pastena, tandis que la 3e DIA occupe la localité de San Giovanni, après une lutte très violente et le plus grand combat de chars de la campagne d'Italie, au cours duquel se sont illustrés les tankistes français.
La bataille du Garigliano est terminée, l'ensemble des monts Aurunci est alors aux mains de l'armée française, qui a réussi où ses alliés avaient échoué durant des mois : faire sauter le verrou de Cassino et ouvrir la route de Rome.
Le 4 juin 1944, la capitale italienne est libérée. Après la libération de Rome, les Alliés continuent leur avancée en direction du nord de l'Italie avant de s'embourber de nouveau, au cours de l'automne 1944, face à une nouvelle ligne de défense allemande, la ligne Gothique, au nord du fleuve Arno. Auparavant, plusieurs de leurs unités, dont celles du CEF, sont retirées d'Italie durant l'été pour participer à l'opération Anvil : le débarquement allié qui se prépare en Provence, programmé le 15 août 1944.
Celui-ci constitue le deuxième acte de la priorité stratégique anglo-américaine définie en 1943 pour le front Ouest, après le débarquement du 6 juin 1944. Malgré l'intensité des combats pour s'emparer de Cassino, le courage et les sacrifices des troupes alliées engagées dans cette bataille, les exploits de l'armée française permettant une libération de Rome fort prometteuse, la campagne d'Italie reste donc reléguée à un rôle secondaire: « L'une des tragédies de la campagne d'Italie fut que le triomphe des armées alliées coïncida avec le début du débarquement en Normandie »(général W.G.F. Jackson, officier d'Etat-Major du général Alexander).
La victoire polonaise sur le Mont Cassin Au mois de juillet 1943, 50 000 soldats de l’armée du général Władysław Anders, sous le commandement du général Eisenhower participent au débarquement en Sicile et à la campagne d'Italie. La progression des Alliées est arrêtée au pied du mont « Monte Cassino », où commence une bataille parmi les plus dures de toute la campagne d’Europe. Elle coûtera aux Alliés 115 000 hommes.
Les Français, ou plus précisément les Goums, les tabors marocains et les Tirailleurs tunisiens subissent des pertes effroyables. Après deux mois d'assauts infructueux contre le rocher du monastère bénédictin, le 18 mai, à 9 h 50, les soldats polonais du Général Anders ont l'honneur, au prix d’énormes sacrifices, de hisser sur les ruines du monastère du Monte Cassino, le drapeau du 12e régiment Podolski, faute de drapeau national polonais disponible.
Un clairon fait sonner le « hejnal mariacki », la mélodie jouée chaque heure à Cracovie. Un chant polonais dit que « là-bas », à Monte Cassino, les coquelicots seront toujours plus rouges car ils se sont abreuvés du sang des Polonais. La victoire était chèrement acquise, mais la route de Rome était ouverte.Le 18 mai 2004, le Pape Jean-Paul II dit dans un discours s’adressant au Président de la République Polonaise : « Chaque Polonais se souvient avec orgueil de cette bataille qui, grâce à l'héroïsme de l'armée commandée par le général Anders, ouvrit aux Alliés la route de la libération de l'Italie et de la défaite des envahisseurs nazis.
Au cimetière militaire du Monte Cassino, se trouvent des tombes surmontées de croix latines et grecques, ainsi que des pierres tombales portant l'étoile de David. Là-bas reposent les héros tombés au feu, unis par l'idéal de lutter pour « votre et notre liberté », qui inclut non seulement l'amour pour sa propre patrie, mais également la sollicitude pour l'indépendance politique et spirituelle d'autres nations. »

venerdì 29 gennaio 2010

MAZUREK DABROWSKIEGO (II A IPSSAR CASSINO)

Mazurek Dąbrowskiego (Mazurka de Dabrowski) est le nom avec lequel est connu le chant “Pieśń Legionów Polskich we Włoszech” (Chant des légions polonaises en Italie ), l’hymne national polonais.

L’histoire

L’hymne a été écrit en juillet 1797 à Reggio Emilia par Jòzef Wybicki, lieutenant de l’armée polonaise du général Jan Henryk Dąbrowski; celui-ci, de son éxil de Paris, avait rassemblé quelques mois avant une armée d’environ 1500 soldats, divisés en détachements d’infanterie et chevalerie, avec lesquels il s’unit à Napoléon dans la Campagne d’Italie. Le général français a promis aux polonais que leur patrie aurait reconquérit la liberté s’ils auraient combattu à côté de lui contre la Russie, l’Autriche et la Prusse, qui en 1795 avaient partagé le territoire polonais.

Les détachements de Dabrowski sont entrés à Reggio Emilia à travers la Porte San Pietro entre le 30 juin et le 2 juillet 1797, pour réprimer les révoltes incitées par les familles aristocratiques contre la nouvelle-née République Cispadane ; c’est pendant les célébrations pour le succès de l’expédition militaire que le jeune lieutenant a écrit la mazurka, pour célébrer la valeur du commandant et chanter l’amour pour la Patrie lontaine

La première exécution publique, comme sérénade, a eu lieu dans les rues de Reggio Emilia ,
devant le palais épiscopal où étaient hébergés Dabrowski et ses officiers, pendant la nuit entre le 10 et le 11 juillet 1797. Le chant a été officiellement adopté par la Pologne comme l’hymne national en
1926.
Les célébrations à l’occasion de 200ème annivesaire de la naissance de l’hymne ont eu lieu à Reggio Emilia le 5 juillet 1997, à la présence de hautes autorités civiles, militaires et réligieuses polonaises.

Le texte originaire présente de légères différences par rapport à l’actuel.
Le commencement de l’hymne ou incipit “Jeszcze Polska nie zginela”(La Pologne n’est pas encore disparue) se réfère à la division de la nation en 1795 entre les trois puissances voisines, tandis que le refrain”Marsz,marsz,Dąbrowski,z ziemi włoskiej do Polski” (en marche, Dobrowski, de la terre italienne à la Pologne) les soldats incitent leur général à les conduire au plus tôt vers la Patrie .

mercoledì 6 gennaio 2010

Les copains de la classe seconde A IPSSAR CASSINO saluent les amis étrangers


LAURA:
Salut, je m’appelle Laura, j’ai 14 ans. Je fréquente la seconde, je vis à Sesto Campano un petit pays qui est plus tranquille de la ville de Cassino où j’étudie. J’aime la danse et surtout l’HIP HOP,j’aime aussi la musique, les films et enfin je lis beaucoup.

YOUSSEF:
Je m’appelle Youssef Qablani.J’ai 18 ans,J’habite à San Donato Val Comino. Je suis d’origine marocaine. Je vis en Italie avec mon oncle,ma famille est restée en Maroc. Je suis venu en Italie pour faire mes études et je fréquente la seconde A. Je préfére écouter de la musique rap.Je n’aime pas beaucoup l’école. Je suis grand et maigre , j’ai les cheveux noirs et les yeux marron.Je suis timide et sympathique. J’aime surfer sur le Net tous les jours.

KATIA:
Je m’appelle Katia et j’ai quinze ans,mon anniversaire est le 5 novembre.Je suis née à Cassino et je vis avec ma famille. J’ai un frère et une soeur.Je suis en seconde. J’ai des cheveux longs,frisés et bruns.Mes yeux sont verts-gris.Je suis haute et robuste. Jaime habiller les jeans et les tee-shirts.J’aime beaucoup étudier. Je parle un peu le Français et l’Anglais. Jaimerais connaitre de nouveaux amis.De temps en temps j’écoute de la musique,j’adore Anastacia. J’aime jouer au P.C. et surfer sur le Net. Je préfére rester seule avec mes livres, j’adore l’école. Je suis sympathique et toujours positive. Je suis heureuse de faire votre connaissance. Bisous Katia

ALESSIA:
Salut! Je suis une élève de la seconde. Je m’appelle Alessia et j’ai 15 ans. J’habite à Conca Campania avec toute ma famille. J’aime beacoup les animaux et je voudrais etre cousinière. Je suis grande et maigre. J’ai les cheveux chatains et longs, mes yeux sont marron. Je suis sympa et dynamique
J’aime la musique rock et rap. J’adore chanter et danser.

GERMANA:
Salut! Je m’appelle Germana.Mon nom est DI VETTA. J’ai 15 ans.Je suis en seconde.Je suis italienne.Je suis grande et maigre. J’ai des cheveux blonds longs et des yeux marron. J’ai un caractère un peu timide.Je suis sympathique,gentille et impulsive(quelques fois).J’aime écouter de la musique rock et voir la télévision. Je sorts souvent avec mes amis.Ciao a tutti!

ERSILIA:
Salut! Je m’appelle Ersilia Maria SAPONE.J’ai 15 ans,mon anniversaire est le 9 juillet. J’habite à Olivella avec toute ma famille. J’aime la musique house et j’adore sortir avec mes amis. Mon père Maurizio est gendarme. Ma mère Antonella a 43 ans,elle est mènagère et elle travaille aussi dans notre restaurant de famille,elle est cuisinière. Mon frère Daniele a 5 ans, il va à l’école mater nelle.
Amicalement , Ersilia.

HARIKLI (SARA):
Bonjour! Je m’appelle Harikli.Je suis d’origine Albanaise.Je vis avec ma famille en Italie depuis 9 ans. Mes amis m’appellent Sara et c’est ce que je préfére. J’ai 16 ans.Je suis blonde et j’ai les yeux verts. Je suis mignonne et pas très haute.J’aime beaucoup écouter la musique de Laura Pausini et Alex Baroni.Je suis gourmande de Chocolat.Je fais du sport et surtout le volley-ball.J’aime la danse latino-americaine.
Bisous à tous!
Sara.

lunedì 4 gennaio 2010

NOUS ETUDIANTS DE L'IPSSAR PRESENTONS LA VILLE DE CASSINO ET LA PROVINCE DE FROSINONE

































Les copains de la classe V A IPSSAR CASSINO saluent les amis étrangers


Carmen
Je m’appelle Carmen, j’ai 18 ans et je suis née à Cassino. Je fréquente la classe terminale du lycée hôtelier. Je suis sympa, romantique et un peu timide, j’ai beaucoup voyagé, pour connaître de nouvelles langues et de nouvelles personnes. J’ai travaillé dans un hôtel cet été. Cela a été une expérience très intéressante.
Jessica
Je m’appelle Jessica, j’ai 18 ans, je suis née à Pontecorvo le 10 septembre 1991. J’étudie à Cassino, mais je suis de Pontecorvo. Je fréquente la classe terminale de l’école hôteliére, je voudrais devenir commis ou chef de rang . Ma famille se compose de mon père, ma mère et mes frères. Je suis une fille sympa. J’aime cuisiner, faire des promenades, sortir et plaisanter avec mes amies. Cet été, j’ai travaillé dans un restaurant à Castrocielo à côté de Pontecorvo, pour un stage.

Michele
Je suis Michele, j’ai 19 ans, je fréquente le lycée hôtelier de Cassino, j’aime les voitures et, surtout, j’aime le tuning. Je suis un garçon qui je n’aime pas l’école parce que je n’ai pas de motivation. Je suis un garçon avec les cheveux noirs et les yeux verts. J’aime dessiner et écouter la musique, surtout la musique house, tribal et commerciale, je viens de Cervaro en province de Frosinone.

Giovanna
Je m’appelle Giovanna. J’ai 18 ans. Je suis née à Cassino, mais j’ habite à Conca della Campania. Je fréquente l’école de l’hôtèlerie et je voudrais devenir maître d’hôtel. Je suis très sympa et j’aime sortir avec mes amis. J’adore chanter et danser. Je voudrais visiter le monde entier pour connaître de nouvelles personnes. L’année prochaine, je dois aller en Suisse pour travailler dans un grand hôtel. Je suis très contente de cette expérience parce que j’aime faire ce travail.

Simona
Je m’appelle Simona, j’ai 18 ans, j’habite à Rocca d’Evandro, je viens de la province de Caserta. J’ai une famille nombreuse. Elle est composée de mon père, ma mère, de mes deux soeurs et de mes deux frères, mais aussi de mon grand-père. Je fréquente le lycée hôtelier de Cassino. J’aime la vie, mais quelque fois je me démoralise, à cause de différents problèmes. Je suis une fille simple, ou plutôt j’aime la simplicité. J’ai commencé à travailler à l’âge de 14 ans dans un bar. J’ai travaillé là pendant quatre ans. J’aime beaucoup travailler et j’adore lire et voyager. J’aime cuisiner mais je n’ai jamais le temps, surtout en ce moment, parce que je fréquente l’auto-école. Je n’aime pas parler de moi. Ce sera un plaisir de vous connaître.

domenica 3 gennaio 2010

PG 7 OPOLE

Weronika
Je m'appelle Weronika et j'ai 15 ans. J'habite à Opole. C’est une ville moyenne au sud-ouest de la Pologne. J'ai deux frères et une soeur. La physique est ma matière préférée.J'aime aussi la chimie, les mathématiques et le français. Mais je n'aime pas l'histoire. En plus, j'aime chanter et je n'aime pas dessiner.

Magdalena
Je m'appelle Magdalena. J'ai 15 ans. J'habite à Lędziny qui est un petit village près d’Opole. Je vais au collège No 7 du général Władysław Anders. Je suis en troisième. J’ai les cheveux bruns, longs et raides. J’ai les yeux gris. J'ai un frère et une soeur. Mon frère s’appelle Tomek. Il a 27 ans. Ma soeur s’appelle Karolina. Elle a 26 ans. J'aime beaucoup les livres,le cinéma et les animaux. J'ai un chien qui s’appelle Saba et une chatte Lena. Elles sont très mignonnes. J'aime aussi le chocolat :) Je n'aime pas le volleyball. Salut!

Karolina
Salut! Je m'appelle Karolina. J'ai 15 ans. J'habite à Opole en Pologne. Je vais au collège numéro 7. J'ai un chien qui s'appelle Roki. Il a 2 ans. Il est mignon. J'ai un petit frère Michał. Il a 9 ans et il aime dessiner. Ma maman s’appelle Beata, elle a 39 ans. Mon papa s’appelle Maciej et il a 39 aussi. Moi, j'aime beaucoup chanter, écouter la musique et lire les livres. J’adore faire du ski. C’est fantastique! J'aime aussi naviguer. Je n’aime pas le foot, je préfère le volley. Ma matière préférée est l’anglais, je n'aime pas la physique. Amitiés.

Aleksandra
Je m’appelle Aleksandra. J’ai quinze ans et j’habite à Opole. Je vais au collège du Général Władysław Anders at je suis en troisième (la classe dernière). J’ai les cheveux bruns et les yeux bleus. J’ai un frère qui s’appelle Daniel et a 13 ans. Ma maman s’appelle Joanna et mon papa s’appelle Adam. J’ai deux chiens. J’adore la musique et j’aime beaucoup lire les livres.

Aleksandra
Je m’appelle Ola. J’ai 15 ans. Je suis en troisième au collège numéro 7 à Opole. Je suis de haute taille. J’ai les cheveux blonds et les yeux bleus. Ma maman s’appelle Grażyna et mon père s’appelle Wojtek. J’ai deux soeurs Kasia qui a 15 ans et elle est ma soeur jumelle et Ania qui a 13 ans. J’aime les animaux, surtout les chiens. J’ai un chien. Il est Golden Retriever. J’aime nager, regarder les films et la lecture aussi. J’adore les vacances et le Noël.

Katarzyna
Je m’appelle Kasia et j’ai 15 ans. J’aime nager, lire les livres, écrire les récits. J’adore les chiens et regarder les films. J’ai les cheveux blonds et les yeux verts. Je suis haute. Pendant mon temps libre j’écoute de la musique.

Anna
Je m’appelle Ania. J’ai 15 ans. J’habite à Opole. J’aime la danse, la musique et les animaux. J’ai un chat et une perruche. Je suis petite et mince. J’ai les cheveux blonds et les yeux verts.

Magdalena
Moi, c’est Magdalena. J’ai 15 ans et je suis polonaise. J’habite à Opole avec mes parents. Je vais au collège numéro 7 du gén. Władysław Anders à Opole. Je suis en troisième F. J’adore lire les livres et jouer de la guitare. J’aime l’anglais et la musique aussi. Ma musique préférée est le rock.

Aneta
Je m’appelle Aneta. J’ai 15 ans. Je suis polonaise. J’habite à Opole. Je préfère écouter la musique pop. J’aime beaucoup l’équitation. J’ai un grand frère. Je fréquente le collège No 7 et à l’école j’aime surtout la chimie et la biologie. Ma couleur préférée est le jaune et le bleu. J’adore le Noël. Je déteste me lever de très bonne heure. À bientôt.